L'ignoble Roberto Rastapopoulos est un homme d'affaires milliardaire, aux multiples activités parmi lesquelles nous pouvons citer : Propriétaire et Directeur général des studios de cinéma Hollywoodiens Cosmos Pictures , armateur naval, patron de plusieurs médias de presse et d'audiovisuel. Il est aussi le Président Directeur Général de la compagnie aérienne Arabair dont le siège est à Wadesdah au Khemed.
Il a également un côté obscur, nous l'avons découvert grâce à Tintin : C'est un criminel international de grande envergure.
Grand Maître de la socièté secrète de Kih-Oskh qui contrôle le trafic d'opium, kidnappeur de milliardaire avec extorsion de fonds, chef de trafiquants d'esclaves africains sous le nom d'emprunt de Marquis di Gorgonzola , et enfin gourou d'une secte qui pratique la contrefaçon d'œuvres d'art sous le pseudonyme de Endaddine Akass.
Voici une galerie de portraits, où sont rassemblés les principaux bandits et hommes de mains au service de l'abject Roberto Rastapopoulos.
On peu reconnaître :
Allan Tompson Commandant en second du «Ramona», et fidèle lieutenant de Rastapopoulos, toujours présent à ses côtés
Mitsuhirato Espion à la solde des Japonnais et trafiquant d'opium, il manie le couteau, le pistolet et la seringue de «radjaïdjah»
Mull Pacha Alias «Docteur Müller», du quartier général du sheik Bab el Ehr
Le docteur Krollspell Qui aime faire des piqûres de sérum de vérité (mais pas toujours à la bonne personne)
Le fakir Surnommé «les yeux» il décoche des fléchettes empoisonnées au «radjaïdjah» le poison qui rend fou
Kurt Le commandant du sous-marin nom de code «requin» qui tente de torpiller le «Ramona»
Yamato Qui profitant de la folie passagère du pauvre «Didi», lui donne un sabre pour qu'il coupe la tête de Tintin
Omar Ben Salaad Dont les relations avec l'infâme Roberto sont moins connues
(voir à ce sujet les révélations d'Alphonse Dulaurier dans la biobraphie officieuse).
Fernand Legros Escroc et marchand de tableaux spécialisé dans le commerce des fausses œuvres d'art
le modèle d'Endaddine Akass ?
Dans la première version de l'album Coke en Stock, la discussion entre les esclaves noirs et le capitaine Haddock se fait à la manière petit-nègre. Diverses associations ayant protesté pour que les esclaves parlent dans un français plus correct, Hergé modifia les dialogues. Les africains s'expriment depuis dans un français littéraire tandis que le capitaine Haddock continue de leur parler à la manière petit-nègre. Il en résulte un décalage rendant la situation encore plus comique.